« Ma Chère Virginie,
Depuis quatre jours, nous avons un temps épouvantable, nous pataugeons dans l’eau et la boue. Le pays est infecté par suite du travail des champs et de plus mal entretenu.
Pour éviter une démarche inutile à Louis Picart, je vais lui mettre un mot, mais je ne me souviens plus de son N°. Est-ce 21 ou 23.
Embrassements à toi et aux enfants, sans oublier mes parents.
J’écris également à mon frère? par ce même courrier?
Ton mari Maurice
28 septembre 1915 »
Collection Archives communales de Tremblay-en-France, 14FI 7 | date : 28/09/1915